Ils l'ont dit et ils ont eu raison

"C'est le sort des plus beaux rêves de se transformer tout d'un coup en cauchemars."
Italo Calvino, l'homme onirique.

Déclaration d'amour ou déclaration de guerre ?

Prenez votre courage à deux mains : gressieramelie@gmail.com

Un p'tit four pour démarrer : le propos qui tombe à pic

Ahlala :

« Mais... Il est pas mort Pierre Palmade ?
- Ben... Non !
- Mais t'es sûre ?
- Ben oui enfin ! »

Merci Mathieu.


mercredi 28 décembre 2011

Le quinzième hasardeux rapprochement : "Où tout part d'en-haut pour finir en bas"

1- Une petite vodka pour se réchauffer en décembre ?


2- Ce truc divisé en deux machins qui se rejoignent au milieu et en bas c'est un peu évocateur, non ?



3- Genre évocateur des trompes de Faloppe.


vendredi 23 décembre 2011

Ah oui, celui qui fait rimer "couille" avec "nouille"...

16h33 j'ai décidé d'être en vacances depuis 3 minutes, et qui dit vacances dit davantage de temps pour alimenter ce blog, nom de Zeus ! Parce qu'entre les travaux et un mois de décembre à vous faire péter les taux de cholestérol et d'alcoolémie avec 2 anniversaires par week-end, j'avoue que j'ai été prise par le temps. Et je n'ai que des journées de 24h, contrairement aux vieilles dames que je croise dans le métro.

Pour bien commencer cette semaine, soyons poètes et citons Brigitte pour la beauté du geste, et aussi pour parer l'excès de gentillesse et de trop-mignonseuté qui sévit toujours à cette période de l'année :



Hey
Toi la nouvelle
Toi la rebelle
Toi le mystère
Moi sa bergère
La régulière
Croqueuse de couilles
Au cœur de pierre
Va te faire des nouilles
Chez les célibataires

(extrait de La vengeance d'une louve, dont je vous invite à regarder le clip à votre dextre)

Et bonnes vacances à vous les monopèdes, si vous avez la chance d'en avoir (des vacances, pas des pieds) (-:




mardi 15 novembre 2011

Ego te absolvo

Hier soir, avec l'Homme, nous avons jeté notre œil sur une émission un peu pourrave il faut bien le dire, dont le thème était en gros "je crois au paranormal et alors ?".
Forcément, il y avait un exorciste, un père Karras du XXIème siècle. Comprendre : il avait un ukulélé (véridique).

Et là, j'ai eu une révélation : les possédés, ce sont toujours des chrétiens. Jamais des non-croyants.
J'en conclus 2 choses :
- premièrement : si on n'est pas chrétien, le Diable ne vient pas nous em******, ce qui est plutôt cool.
- deuxièmement : le Diable ne s'installe que chez des bigots (parce qu'en général, les possédés ne sont pas chrétiens, ils sont super-chrétiens).
D'où : ce en quoi on ne croit pas ne nous atteint pas, et on s'en contrefiche comme de notre première messe.

Alors j'ai envie de donner un conseil au Diable.
Si j'étais vous, j'irais posséder des non-croyants : ça pourrait les faire changer d'avis sur la religion, et donc ça pourrait être bon pour votre commerce. Parce que là, vous prêchez des convaincus, enfin si je puis dire, et ça, ça n'avance pas à grand-chose.

Ne me remerciez pas !
Ou plutôt si, si vous existez, remerciez-moi en m'oubliant.


samedi 22 octobre 2011

Mac Thorez

Prague est une très belle ville.
Prague n'est pas si loin.
Et prague :
a - A un musée du communisme
b - A un musée du communisme au fond d'une cour difficile à trouver
c - A un musée du communisme au fond d'une cour difficile à trouver à côté d'un casino
d - A un musée du communisme au fond d'une cour difficile à trouver à côté d'un casino et d'un Mac Do.
...
Si si.
C'est bien ce que vous craigniez.



jeudi 20 octobre 2011

Le trio infernal

Entendu hier :

A l'agence : "Demain matin j'arrive à 13h30", un(e) architecte qui préfèrera rester anonyme.
Dans les couloirs du métro : "Elle est belle ma belle banane", un marchand de fruits et légumes et légumes.
A mon cours de yoga : "Ce sont les pieds qui portent la tête", ma prof qui a les pieds sur terre et la tête sur les épaules, ou l'inverse.

Tout va bien. Tout est sous contrôle.

jeudi 13 octobre 2011

En voiture Simone, c'est Ryan qui conduit (mazette !)

Après le film schyzophrène et son petit côté cul auquel on ne s'attendait pas.
Après le film expérimental pré-Palme d'Or et son choc Brad Pitt / paléolitique auquel on ne s'attendait pas non plus.
Après le film culte de 3h40 et son entracte auquel on ne s'attendait toujours pas.
Le trader-golfeur et l'archi-yogi récidivent avec "le film véloce et ses coups dans la gueule auxquels on ne s'attendait pas".
Mardi soir, nous avons eu la même idée que pas mal de parigots, nous sommes allés au Max Linder. Là, comme d'habitude - car désormais nous pouvons parler d'habitude - nous avons réussi à choper les meilleures places, celles de la mezzanine. Nous avons ouvert grand nos mirettes et nos esgourdes.
Et pendant 1h40, nous avons été scotchés. Par la première scène, déjà, qui dit tellement avec si peu. Les acteurs, beaux, mais vraiment, un beau mec et une belle femme, et justes. L'histoire. La musique - et le son. La photo. Scotchés aussi par la violence, quand elle est présente, juste à côté de douceur, de pudeur et de retenue. Des os qui pètent, de la cervelle aux murs, des tronches défoncées, des rasoirs tranchants, des couteaux aiguisés, du passage à tabac, un mélange de Tarantino et de Cronenberg.
Mardi soir, juste après, Jonathan m'a dit que ça faisait longtemps qu'il n'était pas sorti aussi emballé du cinéma.
Mardi soir, Ryan Gosling m'a fait rêver. Comme Andy Garcia dans Les Incorruptibles, Clive Owen dans Inside Man, Kevin Spacey dans Usual Suspects. J'aurais voulu être dans la voiture, comme j'ai toujours envie d'être dans le hall de gare pour voir le berceau dévaller les marches, dans la banque pour voir les otages et les braqueurs changer de place, dans le commissariat pour suivre l'interrogatoire et avoir encore une fois la révélation de l'identité de Monsieur Kobayashi.
Allez-y aussi, voir Drive, de Nicolas Winding Refn. Prix de la mise en scène à Cannes. Au bout de 4 minutes, croyez-nous, vous aurez compris pourquoi.


jeudi 6 octobre 2011

Chapeau l'artiste

Mickael Jackson, années 90 :

Yannick Noah, automne 2011 :


Entendons-nous bien : la comparaison s'arrête là, et c'est déjà beaucoup.
Une vague impression de déjà-vu, par ici les monopèdes.

mardi 27 septembre 2011

Les fleurs, c'est périssable : ça dépend chez qui

A Paris, on n'était pas franchement embêtés par les insectes et les araignées, et les moustiques vivaient en osmose avec leurs amis les rats et les souris, et y'a guère que dans le métro qu'on les croisait (c'est d'ailleurs toujours d'actualité, toute l'année).
Sauf que maintant qu'on est à Ivry, même si ça touche la capitale, on voit la différence.
Et quand c'est l'été et que le papier peint de votre chambre ressemble à ça :


après 4 nuits à chercher un moustique qui vous réveille toutes les 2 heures en venant voir dans votre oreille si vous y êtes, vous avez juste envie de décerner le prix Nobel de la Paix à l'inventeur de la prise électrique anti-moustiques.
Et/ou de pendre par les boyaux celui de ce motif.

mardi 20 septembre 2011

Heureusement, la Suède est là

Enfin le fauteuil qui vous manquait pour regarder la télé avec votre moitié / votre enfant / votre nain / l'homme tronc / Krank / un édredon :


vendredi 9 septembre 2011

Sors tes couverts

Depuis que nous avons un lave-vaisselle et que nous ne faisons plus la vaisselle après chaque repas, nous avons réalisé que nous n'avions que 4 fourchettes.

Mais ça va, on le vit bien.

dimanche 4 septembre 2011

Quand soudain tout bascula

"Allô c'est les livreurs on est chez vous dans 15 minutes."
Ouais ouais sauf que le créneau c'est 11h / 14h, pas 10h40 / 14h, alors là tout de suite nous on est au rayon tomates de Carrefour Market voyez-vous...
Enfin je vous rassure les monopèdes, car là je vous sens un peu fébriles, tout s'est bien terminé : on a bien récupéré les 106 colis / 848 kg / 2,626 mètres cubes de la cuisine, qui trônent dans le salon.



Sauf qu'on n'avait pas commandé les poignées des placards.

Allez-y vous pouvez vous marrer, nous le valons bien...


mardi 30 août 2011

Le parking de la muerte

A Leroy Merlin j'ai dû hésiter un peu longtemps entre 2 marques d'enduit.
Le problème, c'est qu'il me manquait un peu de monnaie.

mercredi 24 août 2011

Walk this way

Eh mais oh c'est quoi ce boxon là ?
On est le 24 août ! C'est l'anniversaire de mon père !
Enfin ça veut surtout dire que le 09 août est déjà derrière nous, alors que c'était l'anniversaire du blogounet et que comme j'étais en plein déménagement je me réveille un peu tard.
Mère indigne.
Ouais enfin je vous rappelle qu'à 4 ans on rentre en 2ème section de maternelle, on n'est pas supposé savoir lire ni écrire, alors permettez-moi de vous dire les monopèdes que cet espace est en avance sur son temps !
Allez file dans ta chambre ou ailleurs poursuivre ton bonhomme de chemin mon petit blog, après tout je ne vois pas pourquoi tu ne pourrais pas tracer ta route, comme d'autres...
Vraiment pas.

lundi 22 août 2011

Où le plafond dit merci et le camping-gaz aussi

D'aucun(e)s m'ont dit : "Alors tu vas mettre des photos des travaux sur ton blog ???", ce à quoi j'ai dû répondre "Hummfffouaisjsaispastrop", "Ah je t'ai perdu je passe sous un tunnel", voire "Oulala faut que je demande à la copro tu sais c'est pas facile hein".

Bon finalement, et quitte à avoir des photos vraiment pas jojo dans ce bel espace de culture et d'ouverture sur le monde qu'est ce blog, j'ai cédé à des pressions trop fortes pour mes frêles épaules, quelque part entre "je suis journaliste pendant le Watergate" et "je sais qui a tué Kennedy".

Alors rien que pour vous faire rêver, ci-dessous et en quasi-avant-première (oui j'avoue que mes grands-parents ont déjà vu les dégâts), le début de la première couche de blanc au plafond, qui était déjà censé être blanc :


suivi de l'installation du camping-gaz 2 feux mentionné previously on Oculus-et-Manus, et du mirco-ondes, fleuron de notre artillerie technologique du moment, si l'on excepte l'armoire séchante évidemment :

Depuis, le plafond a retrouvé une couleur supportable, et le camping-gaz est à bloc.

Voilà les monopèdes, dans un prochain épisode, soyez assurés que nous aurons l'occasion de lancer un grand débat national sur l'utilité / la dangerosité du papier peint à motifs.


mercredi 10 août 2011

Sors donc de ce carton

Mon dieu mon dieu mon dieu mais que s'est-il passé en un mois ??!!???!!!??!!????


L'Homme et moi avons déménagé CHEZ NOUS, mais genre CHEZ NOUS, pour de vrai, là ça y est, avant on faisait nos travaux le week-end et on rentrait dormir à la capitale, maintenant c'est fini cette époque, on se réveille directement sur le chantier et pour résumer :



Exactement les monopèdes, vous avez bien compris, on a un lavabo-évier-bac de nettoyage d'outils, et on évacue l'eau de la machine à laver dans la baignoire. Ah oui et on a aussi un frigo dans l'entrée et un camping-gaz royal deluxe (comme les potatoes) 2 feux, prêté par mes aïeux qui décidément ont toujours été à la pointe.


Et grâce à une intervention divine ou un truc du genre, on a récupéré Internet aujourd'hui, ce qui va nous permettre de faire plein de choses utiles comme repérer une bonne fois pour toutes les horaires de Leroy Merlin... En principe, début septembre, on ddevrait avoir droit à un deus ex machina ou quelque chose de semblable qui fera qu'on nous installera une cuisine d'origine suédoise toute neuve.


Tout ça pour dire que je ne vous oublie pas, vous êtes toujours dans mon coeur ou dans ma tête voire dans mon clavier , mais là on a des priorités telles que : "avoir un salon vivable" qui prennent pas mal de temps.


J'espère que vous comprendrez mais je suis sûre que vous aussi vous êtes passés plus ou moins par là à un moment donné...



jeudi 7 juillet 2011

De 05 à 07

En 2011,le mois de juin aura disparu d'au moins un endroit : ici ; on est passés direct de mai à juillet, et c'est bien dommage parce qu'il s'en est passé, des trucs, en juin.
Des trucs comme : j'ai eu 27 ans et un bouquet de bonbecs livré au boulot, l'Homme a eu 30 ans et 3 jours à Prague (goulasch et strudel compris), mais surtout ça y est !! On a enfin notre chez-nous, on a les clefs, on fait ce qu'on veut, en vrai ! On fait tellement ce qu'on veut qu'on a dézingué la cuisine, dégagé/démonté/pété/jeté/donné/vendu les meubles, tagué le mur de l'entrée, embauché un électricien, mangé sur le balcon et même assisté à une fête de quartier de notre nouvelle ville.
Du coup juin est passé bien vite, un peu trop peut-être. Si un jour ça vous arrive, je vous donne un bon conseil-survie pour ralentir un peu le temps : allez voir Il était une fois en Amérique au cinéma, 3h40 ça vous remettra d'aplomb, vous passerez une belle soirée avec Robert De Niro, et vous aurez droit à un entracte au cinoche (enfin en ce qui me concerne c'était une première dans les assiettes : on a tellement halluciné avec le trader-golfeur que le temps qu'on ait le réflexe Magnum ou Coca-Cola, les 3/4 de la salle pleine nous étaient déjà passés devant). Le Max Linder Panorama, probablement le seul cinéma qui n'a qu'une salle mais fait quand même des reprises tous les 2 mois pendant 3 semaines, et où vous pourrez lire à l'entrée des affichettes du style : "Nous vous rappelons que nous projetons Il était une fois en Amérique de Sergio Leone, et pas Il était une fois l'Amérique de George Stevens Jr."
ENFIN BREF tout ça pour dire que comme des adultes, l'Homme et moi sommes endettés et avons des travaux à faire : on va bien se marrer.
Trop lol.

mardi 31 mai 2011

Episode Vingt-Cinquième : "Où il ne faut pas trop écouter les conseils de Karl Lagerfeld"




Le vendeur de beignets n'a toujours pas trouvé la réponse.


Et sur ces bonnes paroles pleines de bon sens, je vous laisse méditer sur la signification du jeudi de l'Ascension pour vous : en profiterez-vous pour prier et vous recueillir comme tout bon catholique, ou bien en profiterez-vous tout court (j'entends par là : "la religion j'm'en fiche pas mal mais au moins ça a l'avantage de faire des jours fériés") ?

Je vais réfléchir à ça au bord de la mer.

Enfin vous me direz, c'est déjà tout réfléchi.

Qu'à cela ne tienne.

J'me barre quand même.

vendredi 20 mai 2011

Les soirées expérimentales du trader-golfeur et de l'archi-yogi

Vous vous rappelez certainement ceci, vous qui êtes des lecteurs assidus et des monopèdes avertis.
Sachez que nous avons récidivé, et presque en pire. On est cap, on est ouf, on est des déglingos de la pelloche.
A tel point que mercredi dernier Jonathan et moi sommes allés au Max Linder Panorama (ça ne dira rien aux provinciaux, mais ici, j'aime autant vous dire que sa réputation le précède). Et il se trouve que le film projeté était The tree of life, le dernier Terrence Malick.

Quand on va au Max Linder, comme il n'y a qu'une salle,
on ne choisit pas le film. Mais comme la programmation est toujours minutieusement choisie, en général, on ne prend pas de risques.
A la séance de 19h, la salle était bien remplie, forcément, c'était le jour de la sortie du film. Nous, un peu naïvement, on s'était dit : Terrence Malick + Sean Penn + Brad Pitt + Max Linder = tranquille Emile.
Et c'était la première fois pour Jonathan, comme c'est émouvant ! Il n'était jamais allé dans ce cinéma, alors qu'en plus c'est à 5 minutes de chez lui. Toujours prête à rendre service, j'étais bien contente de le voir monter le grand escalier qui mène à la mezzanine, ambiance "je vais te montrer moi ce que c'est un vrai cinéma, tu vas voir, ça va changer ta vie".
Enfin tout commençait bien. Et tout a bien fini.
Quand la lumière s'est rallumée, on s'est regardés, un peu perplexes, on n'a pas su quoi se dire. Finalement on a fini par tomber d'accord sur : "je m'attendais pas à ça" et "c'était mystique".
Chronologiquement, dans l'histoire du cinéma :
- en 1955, Louis Malle et le commandant Cousteau filmaient les fonds marins dans Le Monde du Silence, et raflaient la Palme d'Or à Cannes l'année suivante
- en 1968, Kubrick bossait avec la NASA, filmait l'espace, pondait un final complètement psychédélique et faisait halluciner la terre entière avec 2001 l'odyssée de l'espace
- en 1993, Spielberg retournait aux sources et nous faisait rêver avec Jurassic Park.
Et bien en 2011, Terrence Malick mixe le tout et hop ! The Tree of life, où comment voir le vaste univers, le monde marin, les dinosaures et Brad Pitt qui joue de l'orgue dans un seul et même film. C'est possible ! Pourtant comme ça on y croit pas.
Je ne sais même pas si je dois vous dire d'aller le voir ou pas, tellement c'est particulier. Enfin si, allez-y pour vous faire votre propre opinion. Mais choisissez bien votre salle, The tree of life mérite vraiment une belle image et un beau son.
Et si comme nous vous voulez rester dans un mode expérimental après le film, allez manger iranien et révisez la filmographie de Jodie Foster en mangeant du yaourt aux épinards.
Le 22 juin prochain, le Max Linder reprend Il était une fois en Amérique. On a vu la bande annonce mercredi soir. On est à fond, ça y est, notre prochain film ne sera donc en principe ni expérimental, ni porté sur le sexe. Il durera 3h40. Je ne sais pas si un jour on ira voir un truc normal.

vendredi 13 mai 2011

Super (f)utile


Certaines branches du journalisme d'investigation sont moins pénibles que d'autres.

dimanche 1 mai 2011

Episode Vingt-Quatrième : " De l'importance des rencontres et des polices d'écriture"


Moi j'aime quand les entrepreneurs ont de l'humour.

Un peu comme quand je demande au menuisier quand est-ce qu'il compte finir sur mon chantier, et qu'il me répond "Mais je m'en fous moi de votre chantier !".

Ou quand le poseur de systèmes de ventilation a une adresse mail qui commence par topgaines@... même si ce n'est pas le nom de son entreprise.

mercredi 27 avril 2011

Prodigieux, qu'on vous dit

Ces derniers temps, ayant quelques petits soucis de connexion Internet chez nous, les deux hommes et moi avons été contraints de consulter les horaires du cinéma sur un programme, mais si, rappelez-vous, le truc en papier qu'on va chercher aux caisses du cinéma et qu'on jette le mercredi qui suit.

Et là sur le petit papier, vous avez non seulement les films qui passent en ce moment, mais aussi les films à venir. Un peu comme sur Internet mais sans cliquer et sans chercher.
Et parmi les films à venir, il y a celui-là :

The prodigies, adapté du livre La nuit des enfants rois de Bernard Lenteric. Je crois que c'est le livre que ma mère m'a recommandé de lire le plus de fois. Et je l'ai lu, malheureusement trop tard pour lui dire combien elle avait raison.
D'après Allociné, le film sort le 8 juin en France.
D'après mon programme du Gaumont Alésia, le film sort le 22 mai.
D'après Mickaël, c'est pas possible :
"Quoi ??
- Hein ?
- Mais ça sort le 22 mai ça ?
- Ben oui, ça fait un moment que j'ai vu des affiches dans les cinémas, en plus.
- Mais c'est pas possible on n'a pas encore commencé à bosser dessus !
- Ah bon ?
- Ben nan ! En plus à la base il devait être en 2D et ensuite hop ! ils ont décidé de le sortir en 3D alors ils ont calculé une deuxième caméra à l'arrache... Franchement si tu veux le voir, va le voir en 2D parce que sinon c'est n'importe quoi.
- Ah ben ok... En tout cas j'ai lu le bouquin j'avais vraiment aimé, j'espère que ce sera bien mais j'ai pas encore vu de bande annonce.
- Ben c'est normal ! On les a pas encore faites..."

D'après mes longues et tortueuses recherches, vous pouvez quand même voir la bande annonce ici, mais apparemment, pas au cinéma.

Et le 2ème conseil concernera Et soudain, tout le monde me manque :
"Je l'ai vu sans le son, ça a l'air vraiment pas mal, allez le voir".

Ce genre de phrase absurde vous paraîtrait normal à vous aussi, si vous étiez à ma place.

vendredi 22 avril 2011

Déjà vu

Oh tiens, le catalogue Habitat printemps-été 2011 qui traîne à l'agence :

catalogue fraîchement photographié du jour

Oh tiens, ils se foutraient pas un peu de nous les commerciaux d'Habitat ? Par hasard...

vieux logo Ikéa qui date d'au moins 2005 mais toute précision est la bienvenue


En même temps, Habitat qui fait de la pub pour Ikéa, c'est vrai que ça n'arrive pas tous les jours.Enfin moi j'dis ça j'dis rien.

mardi 5 avril 2011

Le printemps c'est dingo

Entre une connexion Internet approximative et un projet secreto-financio-immobilis in mobile mené avec l'Homme, je regrette de n'avoir que des journées de 24h mais elles ont beau être trop courtes, ça ne m'a pas empêchée, en l'espace de 3 semaines :

- de faire des courses mi-bobo mi-geek à la Fédération Nationale d'Achat Coopératif de la rue de Rennes (à la Fnac Montpar, NDLR) ce qui m'a permis de constater que les comics ne sont pas rangés dans le rayon "Sciences humaines" comme on pourrait le penser, mais bien au fin fond du Mordor comme le dictionnaire greco-hébreux que plus personne n'ose demander. Enfin ça m'a permis aussi de lire des histoires de morts-vivants le matin dans le métro, à côté de gens qui mangeaient leur croissant, laissez-moi vous dire que c'était marrant. - de croiser la Vache-qui-Rit au supermarché, tranquille dans ses sabots, sauf qu'elle ne faisait même pas ses courses, mais fêtait ses 90 ans (oui ma bonne dame). Ben y'a pas beaucoup de gens dans ma famille qui peuvent la traiter de jeunette ! - de faire des lectures intéressantes et Brigitte Bardot-friendly avec mon homme. (qui n'est pas Karlito mais qui l'imite tellement bien) - de constater avec bonheur et mal de gorge que ça y est le printemps est là, même au bazar du coin où je vais bientôt faire un stop en pensant à ma soeur :

C'est finalement plutôt rassurant de voir qu'il y a toujours des tags, des mascottes et des espadrilles dans la vie, vu qu'apparemment autour de nous tout fout le camp, il en faut peu pour être heureux.

lundi 14 mars 2011

Episode Vingt-Troisième : "Où l'épi de maïs tente de se faire la malle mais est stoppé par un vieux monsieur à lunettes"

Oui bon d'accord J'AVOUE TOUT, samedi dernier on est tellement allés à la banque comme des grandes personnes pour parler prêt immobilier que le soir on s'est fait un KFC en regardant Coursier.
Le pire c'est qu'on assume.

samedi 5 mars 2011

Part X : 11 bonnes raisons d'aller au cinéma

Vous n'êtes pas sans savoir qu'il y a peu je suis allée voir Black Swan, et heureusement pour moi je l'ai vu avec un bon ami, un ami de 30 ans, enfin presque.

Il y a encore moins longtemps, l'Homme et moi avons vu 127 heures, que je qualifierais de putain de film, expression que vous me pardonnerez et que vous considérerez comme un compliment, merci pour le réalisateur. Là une fois de plus je me suis dit "Roh lala mais qu'est-ce qu'elles font là les 2 petites mamies, moi j'irai jamais voir ça avec ma grand-mère".
D'où cet article : il est des films qu'il est conseillé d'apprécier avec la bonne personne.


1 - Black Swan (Darren Aronofsky), donc, avec un vrai bon pote ou une vraie bonne copine ; apprécier la danse classique n'est pas requis
2 - Citizen Kane (Orson Welles), avec un cinéphile, votre colocataire, voire les deux en un, en l'occurence Mickaël
3 - A bout portant (Fred Cavayé), avec un homme pressé
4 - Rubber (Quentin Dupieux), avec un adepte de l'absurde, si possible élevé à coups de sketches de Les Nuls
5 - True Grit (Joel et Ethan Coen), un vrai western que j'aurais dû voir avec ma mère en mangeant des Pyrénéens
6 - Le nom des gens (Michel Leclerc), avec son/sa chéri(e), surtout si vous êtes du même bord politique et que vous aimez la coriandre
7 - The social network (David Fincher), avec de vrais amis de la vraie vie
8 - Buried (Rodrigo Cortés), avec n'importe qui de non claustrophobe
9 - 127 heures (Danny Boyle), pourquoi pas avec la personne qui vous accompagné(e) pour voir Buried, en tout cas avec quelqu'un qui a le coeur bien accroché et éventuellement étudiant en médecine (voire déjà médecin), pouvant du coup vous éclairer sur les mystères du fonctionnement du corps humain et plus précisément les modifications subies par un avant-bras bloqué entre une paroi et un rocher pendant plusieurs jours, la résistance à l'arrachement des muscles, des ligaments et de la peau, et enfin sur la vraisemblance du bruit que fait l'os lorsqu'il casse dans le film et l'effort nécessaire pour en arriver là sans s'évanouir ; 127 heures, ou "comment je ne partirai plus sans un couteau suisse bien aiguisé parce qu'avec mon truc Made in Taïwan, j'en chie"
10 - Des hommes et des dieux (Xavier Beauvois), que j'aurais aimé voir avec mon père et que vous pouvez donc aller voir avec le votre
11 - Potiche (François Ozon), avec une femme libérée évidemment (mais je sais, c'est pas si facile).

Bonus track : The Wall (alan Parker), avec papa !

Tous ces films ont été vus entre le 19 septembre 2010, jour de ma fête, et le 27 février 2011, où j'ai vu... 127 heures. Sauf The Wall, que j'ai dû voir en 1997, un truc comme ça.

La boucle est bouclée.

lundi 21 février 2011

Le quatorzième hasardeux rapprochement : "En ce moment j'ai deux Jules à la maison"

1 - En ce moment, je prends des livres dans la bibliothèque de mon père (ah oui tiens t'étais pas au courant, enfin tu verras en rentrant, ou plutôt tu t'en rendras même pas compte) et de ma grand-mère, où j'ai trouvé ceci :
Un livre qui a l'air vieux, une histoire de Maigret, un truc de bibliothèque de grand-mère quoi, normal. J'ai 26 ans, certes, mais souvenez-vous de cet épisode, et ce genre d'anachronisme générationnel ne vous fera même plus lever le sourcil.

2 - Le titre de ce livre, ça fait quand même un peu Martine à la plage, Martine à l'école, Martine et le taxidermiste, Martine au bal des pompiers, que sais-je...
Cette couverture et ce titre, là, pour le coup, c'est inspirant :

Voire :


3- Exactement comme ce qu'on a vu ici avec cette fabuleuse image :

Dingue non ? Quel est le rapport avec Maigret ? A part la couverture de ce livre, aucun. A moins que Madame Maigret ne soit en fait un homme ? Dans ce cas cela expliquerait pourquoi on ne la voit qu'une seule fois dans TOUS les épisodes de Maigret diffusés sur Antenne 2, France 3 Régions et France 2... Le mystère reste entier.
D'ailleurs ça me fait penser aussi qu'hier soir, chez l'Homme et moi, au programme il y avait Cabaret, sur Arte.
C'était diffusé dans le cadre d'un théma (les fameux théma d'Arte qui font toujours un peu flipper, parfois à tort). Le théma c'était : "Le berlin gay des années 30".
C'est pointu, quand même... Y'a dû y avoir 2 films sur le sujet, au bout du compte.
Bon en fait on fait bien de flipper un peu des théma d'Arte.
Ce sera le mot de la fin.
Bonne méditation.

samedi 12 février 2011

Si David Vincent les a vus, moi j'en suis pas loin

Vendredi 11 février 2011 : la journée de l'étrange.

Premièrement : à 18h30, le pharmacien du quartier où je travaille m'annonce que la Sécurité Sociale a décidé toute seule comme une grande et sans me prévenir que ma Carte Vitale n'était plus en service. Sait-elle que j'ai renvoyé mon dossier pour avoir la nouvelle carte avec photo en septembre dernier, et que je n'ai toujours pas de nouvelles ? J'en doute.

Deuxièmement : à 18h55 environ, je descend du métro à la Gare du Nord, je me dirige vers la correspondance du RER, quand soudainement l'escalator qui descendait se met à remonter, avec des dizaines d'usagers dans les marches. Ou comment avoir l'impression de visionner un film qu'on rembobine, grandeur nature.

Troisièmement : lorsque je sors à Denfert-Rochereau vers 19h25, je photographie ceci :

La veille à 8h35, dans les couloirs du métro Alésia, j'avais photographier cela :

Quatrièmement : je rentre et explique tous ces faits étranges à l'Homme, et m'aperçois que 11 février 2011 ça fait 11.02.2011, que 1+1 (les chiffres du jour) = 2 (le mois), et ça marche aussi pour l'année. Quand même hein, ça fait beaucoup !

(et alors là, attention) Conclusion : "Je crois qu'on devrait appeler Jacques Pradel". Je me dis que décidément, j'ai bien fait de demander son avis à Mathieu.

Reste à savoir si ça fout vraiment les pétoches d'aller manger chez Léon de Bruxelles.

PS : ces photos sont les 2 premières prises avec mon nouveau compact et que vous voyez ici, bienvenue le Pentax Optio M900 ! Et une petite pensée pour les 7 ans 1/2 de bons et loyaux services de mon Canon PowerShot A70 avec 3,2 mégapixels (vous pouvez vérifier, vous en avez plus dans votre téléphone), offert par ma famille pour mes 19 ans et qui m'a suivie pendant toutes mes études et au-delà, qui est allé en Suède, en Espagne et jusqu'en Indonésie bravement et sans mollir. Vraiment, bravo.

jeudi 10 février 2011

Un monopède averti en vaut deux (voire plus)

A suivre dans cet article : un conseil-survie de sioux pour les cinéphiles.
Mercredi, je suis allée voir Black Swan comme une ouf le jour de sa sortie à la séance de 20h, dans une salle comble, avec Jonathan et sur une idée (j'insiste : une idée) de Jonathan.
Pour résumer : Amélie l'archi-yogi + Jonathan le trader-golfeur = amis de 10 ans (c'est important pour la suite).
Le film "dure 1h48" (je ne vais au cinéma qu'avec des gens qui maîtrisent parfaitement la durée des films), période pendant laquelle vous voyez sur très grand écran, dans le désordre et pêle-mêle :
- une scène de pelotage chorégraphe + danseuse pendant la répétition
- une scène de masturbation dans un lit
- une autre dans un bain
- les 2 héroïnes qui couchent ensemble
- un autre pelotage danseuse + danseur
- un acouplement Méphistophélès (ou chorégraphe, j'avoue que là on ne voit pas hyper hyper bien mais je crois même que l'un se transforme en l'autre, ou l'inverse, allez savoir) + danseuse.
Nous on ne s'attendait pas à voir une plus ou moins scène de *** tous les quarts d'heure, en fait on ne s'attendait pas à grand-chose.
Enfin la morale de l'histoire et surtout le conseil du moment :
Choisissez bien la personne avec qui vous irez voir Black Swan !
Par exemple, je vous déconseille un peu vos grands-parents voire vos parents, la nénette avec qui vous voulez conclure, votre collègue sur qui vous avez des vues, éventuellement votre concierge qui pourrait vous en vouloir et avoir des représailles, votre grande-tante, votre petite nièce ou les enfants de votre voisine.
Par contre allez-y avec votre époux, votre épouse, votre chéri(e), votre meilleur(e) ami(e), votre pote de 10 ans, Jonathan, moi.
Je sais, ça limite le choix, mais vous me remercierez plus tard.
Enfin allez-y parce que c'était achement bien, et on a même trouvé notre réplique culte DE TOUT LE FILM qui n'a fait rire que nous 2 dans la salle, et ça c'est la classe.

mercredi 26 janvier 2011

J'ai péché, punis-moi à coups de lampe (?)

Hier j'ai bien pensé à ma soeur + mon beauf + l'Homme, enfin à nous 4 quoi (oui parfois ça m'arrive de penser à moi, et alors ?), quand je suis tombée sur un catalogue de luminaires au boulot.
"Est-ce possible, et surtout, quel est le rapport ?" vous interrogez-vous, et vous avez bien raison.
Et bien OUI c'est exactement possible, précisément quand on trouve un catalogue de luminaires dans lequel posent des mecs en porte-jaretelle ambiance Rocky Horror Picture Show, ce film de foufous que nous étions allés voir au Studio Galande il y a quelques temps, même que l'Homme et moi avons retrouvé du riz dans l'appartement 15 jours après.
"Mon dieu elle a perdu la raison la pauvre petite", vous lamentez-vous dignement mais avec un petit rictus nerveux au coin de la bouche, je le vois bien.
QUE NENNI, je vous assure que je n'ai pas pété un plomb, mais si j'vous jure, j'vous jure Monsieur, ne jurez pas Marie-Thérèse, mais là quand même, la preuve en images :

Ami monopède tu peux jouer à Où est Charlie ? en cherchant les lampes, parce que franchement, c'est pas ce qui saute aux yeux de prime abord...

Hein hein vous faites moins les marioles les monopèdes !

Si vous voulez consulter voire télécharger ce magnifique catalogue pour le garder bien planqué au fond de votre PC, c'est par ici que ça se passe. Enfin je vous préviens que la phrase d'accroche c'est quand même "Lucifero, quand la lumière illumine le péché", ouais ouais, y'a des concepteurs qui sont inspirés.

Enfin le plus beau c'est qu'en fait ce n'est pas moi qui ai exhumé cette oeuvre d'art photographique, c'est notre petit stagiaire de 3ème :D

Voilàààààààààà ! Bienvenue dans le monde de l'architecture, jeune recrue de 14 ans, où tu cherches des lampes et tu tombes sur des mecs à la coupe mulet-nuque longue-André Agassi années 90 qui posent tout naturellement chez eux en porte-jaretelles.

Et surtout n'oublie pas d'oublier ce petit épisode dans ton rapport de stage.

Ahem.

lundi 24 janvier 2011

Devine qui on va regarder ce soir

Amis monopèdes qui trainez par ici au lieu de regarder le 20h, ou qui êtes tombés là par erreur au lieu d'aller sur le site de TéléLoisirs, cet article est pour vous.
Ce soir, sur votre petit écran :
- Pas de printemps pour Marnie sur Arte (très bon choix cleptomane)
- 58 minutes pour vivre sur M6 (très bon choix, pour une fois Bruce Willis sauve le monde avec des cheveux ; ensuite on a revu ça pour 6ème sens, et encore, il ne sauvait pas grand-monde ni grand-chose, même pas son intégrité sociale, enfin passons)
- Matrix sur France4 (très bon choix donc suivez le lapin rose)
- Anna et le roi sur TMC (très bon choix my dear)
- 7 ans au Tibet suivi du Cercle des Poètes disparus sur NRJ12 (très bonne soirée zen et carpe diem).
VOILAAAAAAAA !!!!
A la télé on nous passe tout le temps que des bouses, et là d'un coup, c'est la soirée des films trop bien qui durent 2h30.
Alors j'ai juste envie de dire aux gens qui font les grilles des programmes télé : le mot "coordination" serait-il envisageable en 2011 ? (bordel)
Merci de votre attention.
Maintenant, puisque vous n'arriverez pas à trancher, vous pouvez aller regarder Ma vie à la télé ou la redif de l'Amour est dans le pré sur M6 replay. Après ce manque total de bonne volonté de la part du CSA, on n'osera même pas vous en tenir rigueur.

samedi 22 janvier 2011

Le treizième hasardeux rapprochement : Tu prends les jaunes ou les rouges ?

1- La gare de l'Est, à Paris, a été refaite et maintenant elle est toute cholie mimi avec tout plein de magasins pour faire les soldes quand son train a du retard, et une verrière ambiance poinçonneur des Lilas, avec tout plein de p'tits trous.
2- Avec du verre coloré de deux couleurs, placées selon une logique à faire pâlir les logisticiens de la NASA.

3- En fait j'ai une explication : les ouvriers sont un peu retombés en enfance quand ils ont mis ces pavés de verre...

dimanche 16 janvier 2011

Lili les bons tuyaux : en 2011 on kiffe le souterrain

En 2011 c'est décidé, vous irez voir le château de Brézé, près de Saumur, un château troglodytique (oui ça s'écrit comme ça) qu'il est bien beau et bien fascinant.
On y trouve :
- des vortex qui mènent dans la 4ème dimension via la porte des étoiles

- des hectomètres² de pierre


- des ponts plus trop trop praticables mais on aimerait bien y grimper quand même


- des cadrages de l'étrange


Bref tout un tas d'endroits super chouettes et appréciables même par les non-architectes comme en témoigne cette photo de l'Homme heureux :

Mouahahah regardez nos binettes, je crois que c'est la première fois que vous les voyez ici, réjouissez-vous !

Allez bonne visite et bonne galette les monopèdes.