Ils l'ont dit et ils ont eu raison

"C'est le sort des plus beaux rêves de se transformer tout d'un coup en cauchemars."
Italo Calvino, l'homme onirique.

Déclaration d'amour ou déclaration de guerre ?

Prenez votre courage à deux mains : gressieramelie@gmail.com

Un p'tit four pour démarrer : le propos qui tombe à pic

Ahlala :

« Mais... Il est pas mort Pierre Palmade ?
- Ben... Non !
- Mais t'es sûre ?
- Ben oui enfin ! »

Merci Mathieu.


vendredi 29 février 2008

Vous l'avez bien vue ? La date ?

Alors profitez-en car un jour comme aujourd'hui c'est comme Michel Druker qui critique quelqu'un ou Lara Fabian qui ne crie pas, c'est rare.

jeudi 28 février 2008

En attendant...

Une photo prise en guise de test il y a un moment, mais elle a le mérite de vous laisser admirer le tapis tunisien du salon, rapporté dans des conditions douteuses que nous tairons ici... Oui je sais vous me direz "ça fait un moment qu'elle avait pas posté quelque chose", certes, mais entre temps et autres j'ai quand même rendu mon mémoire (merci bibichon). Promis si j'ai 18 je paye le champagne.
En espérant que vous n'ayez pas trop soif...

lundi 25 février 2008

La citation du jour - Un peu de culture dans ce monde de cinéma

Pendant que certaines remportent des trucs métalliques dorés un peu partout dans le monde, et que les frères Cohen ont décidément bien fait de coiffer Javier Bardem n'importe comment, d'autres expliquent leur méthode pour faire carrière : "Grâce à la barbe, je suis sorti de l'anonymat".
Alors, qui a la barbe heureuse ? Attention il y a un piège : ce n'est pas Robert Hue.

jeudi 21 février 2008

Une poutre, sur un mur...

Les poutres et les murs, parfois, dégoulinent de rubans. Un décor de film d'horreur ? Du cinéma expressionniste allemand ? Le grenier du Bates Motel ? Allez savoir...

mardi 19 février 2008

Venez voir un peu que je vous raconte ma Saint-Valentin

La journée commençait plutôt bien puisque je me suis réveillée aux côtés de mon homme à 7h30… pour l’emmener prendre le train à 8h23. Ma Saint-Valentin a donc duré 45 minutes. Mais comme vous vous en doutez une journée trépidante a suivi, et je me dois de la partager avec vous chers lecteurs qui suivez attentivement mes aventures.
J’ai fait des trucs passionnants comme envoyer des mails à droite à gauche en essayant de ne pas m’énerver contre ALICE WOUHOU WOUHOU qui me plante ma boîte mail depuis deux semaines. Mais pendant cette journée de la Saint-Valentin j’ai aussi appris tout un tas de choses sur les délires historiques de notre petit président et également sur le fonctionnement du genou, mais pas dans la même émission. Et saviez-vous que le koala devient autonome à l’âge de 1 an ? Forte de cette information in-dis-pen-sable j’ai pris une décision importante. Et c’est ainsi que pour honorer ce jour des amoureux je me suis mise à repasser. Oui ok, le glamour n’y est pas, mais attendez la suite.
Donc repassage, C dans l’air, Grand journal, cuisine, repas et go ! Le 14 février certains vont au resto, moi je vais au cours de sport, exceptionnellement sans ma sœur qui elle avait choisi de passer la Saint-Valentin avec la petite vie de Madame Mumuche, un dossier palpitant rapporté du boulot. Chacun sa croix.
J’arrive au cours de sport car un corps de rêve ça s’entretient (…), et là horreur !!! Je ne sais pas si c’était le fruit du hasard ou une farouche volonté de nous rappeler à nous, les 8 nanas motivées même ce soir-là, que normalement on n’aurait pas dû être ici mais dans les bras de notre chéri… Mais la prof nous a ressorti sa playlist Love, love, love… mais sans les Beatles. On a TOUT eu : Belle (rappellez-vous Garou et Patrick Fiori… vous étiez au collège… ah non c’était moi ça) dont vous écoutez les paroles pour ne pas penser que vous souffrez le martyre à force d’étirements, et vous réalisez combien le texte est lubrique… Aaahhhh vite autre chose…, Umberto Ti amo Tozzi (je suis au 36ème dessous), When a man loves a woman (Percy Sledge, ah ben oui on pouvait pas y échapper), Last request (Paolo Nutini, stop les chanteurs à consonnance italienne) et une reprise insipide de Wicked ways, y’a des chanteuses qui devraient être muettes.
Enfin… le moment glamour de cette Saint-Valentin qui restera dans… dans aucune mémoire en fait à part celle de mes jambes et de mes abdos peut-être… Normalement le jeudi à 21h il n’y a quasiment personne sur le parking de la salle des fêtes et du foyer socio-culturel de Lizy (vous n’êtes pas au Groland mais pas loin). Mais là c’était plein comme un Mon Chéri puisqu’il y avait une fête dans la salle des fêtes. Tout va bien. J’ai quand même un peu galéré pour garer la Twingo mais bref, j’ai mené l’enquête auprès de mes consœurs et il s’agissait d’un mariage. Oui un jeudi soir, oui la Saint-Valentin, mais chez les gens du voyage les mariages ce n’est peut-être pas que le samedi, ce qui a l’avantage de laisser beaucoup plus de possibilités. Mais le comble du glamour, ce n’est pas les grosses cylindrées garées à la place de ma titine, ni les tenues classe des invités. Non non non. Mais d’ailleurs, comment je les aies vues, ces tenues, puisque la fête était dans la salle des fêtes ? Grâce au repas de noce bien sûr ! Les gens du voyage sont nomades donc le repas aussi, faut croire. Et c’est ainsi que cette journée s’est tout de même terminée en APOTHEOSE par un mariage dont les invités allaient se ravitailler… au CAMION A PIZZAS garé devant !!!
Etait-il tenu par Toto Cutugno ? Je ne sais pas je n’ai pas osé m’approcher… L’année prochaine j’essaye d’assister à une bar mitzva sponsorisée par Royal Canin (big up à vous-savez-qui)…

dimanche 17 février 2008

La collection que vous n'avez pas

Et ne me dites pas le contraire.
Le tabac à chiquer est mauvais pour la santé, a une odeur infecte et les boîtes qui le contiennent se retrouvent souvent dans les caniveaux et les stations de métro. Témoins de mes déambulations, boîtes à médocs ou à boules Quiès, croyez-moi quand je vous dis qu'aucune d'entre elles ne m'échappe. Maintenant j'ai l'oeil.

jeudi 14 février 2008

Le kougelhopf du 13 février

Le kougelhopf, c'est avant tout une orthographe et une prononciation. Qui ne vont pas ensemble. Chacun sait dire ce mot, personne ne sait l'écrire, tout le monde appelle ce gâteau [couglofe] et pas [cougelopfe] comme c'est écrit.
Ensuite, le kougelhopf, c'est une brioche un peu longue à obtenir. Battre. Faire lever. Attendre. Faire lever. Cuire. Démouler. Laisser refroidir.
Enfin, le kougelhopf, c'est la trace d'un creuX, le positif d'un négatif, le plein d'un vide.
Tout un poème qui ne fera pas long feu.

mardi 12 février 2008

Attention changement de rédacteur...

La parole est à mon homme :
Je suis plutôt content de vous avoir collés avec ma citation du jour que je ne pensais pourtant pas si difficile que ça. Merci à celles et ceux qui se sont cassé la tête, la phrase est de Bruno Daunay, le journaliste de Canal+ qui officie entre autres dans la rubrique "la petite semaine", tous les vendredis pendant le Grand Journal.
Et voilà, maintenant quand vous entendrez parler de la Société Générale, vous penserez à mon homme et ça vous rendra heureux.
A la prochaine et n'oubliez pas, si un jour on vous pose une question à laquelle vous ne voulez pas répondre, vous pouvez vous sortir de n'importe quelle situation avec cet instrument diabolique à l'épreuve de tout : "Ce n'est pas tout à fait votre question mais c'est tout à fait ma réponse". Grâce à notre président tout est vraiment possible, y compris n'importe quoi...

dimanche 10 février 2008

A l'abordage

Mes pérégrinations de fantassin infatigable me mènent souvent plus loin qu'au croisement d'une ou deux rues, et lorsque je pousse une porte parce que j'ai vu de la lumière dans son encadrement, parfois je rencontre des bateaux perdus entre quatre murs.
C'est par où la sortie ?
A tribord moussaillon...

mercredi 6 février 2008

Le boulevard et le fantôme

Parfois le piéton voyageur peut se perdre volontairement dans une ville pour en découvrir les (re)coins cachés.
Et parfois, il se retrouve à ce genre de carrefour, où s'il part à gauche sa voie est toute tracée, mais s'il part à droite, nul ne peut vraiment lui dire où il arrivera.
Comme dans les contes de fées : un chemin dégagé, fleuri et sûr d'un côté, un sentier tortueux, sombre et dangereux de l'autre. Mais s'il veut triompher et ressortir grandi de son aventure, le héros ne doit pas se fier aux apparences...
Toujours est-il qu'à Paris, certains habitants vivent dans une rue qui n'existe plus.

dimanche 3 février 2008

Entre ciel et terre

Maintenant que c'est un peu l'hiver je fais du feu dans la cheminée. Et la plume qui se tient là, par miracle et dans le salon, me rappelle qu'un conduit de cheminée n'est jamais qu'une ouverture vers le ciel, par laquelle j'entends le vent souffler et le chien des voisins aboyer.