Ils l'ont dit et ils ont eu raison

"C'est le sort des plus beaux rêves de se transformer tout d'un coup en cauchemars."
Italo Calvino, l'homme onirique.

Déclaration d'amour ou déclaration de guerre ?

Prenez votre courage à deux mains : gressieramelie@gmail.com

Un p'tit four pour démarrer : le propos qui tombe à pic

Ahlala :

« Mais... Il est pas mort Pierre Palmade ?
- Ben... Non !
- Mais t'es sûre ?
- Ben oui enfin ! »

Merci Mathieu.


lundi 21 février 2011

Le quatorzième hasardeux rapprochement : "En ce moment j'ai deux Jules à la maison"

1 - En ce moment, je prends des livres dans la bibliothèque de mon père (ah oui tiens t'étais pas au courant, enfin tu verras en rentrant, ou plutôt tu t'en rendras même pas compte) et de ma grand-mère, où j'ai trouvé ceci :
Un livre qui a l'air vieux, une histoire de Maigret, un truc de bibliothèque de grand-mère quoi, normal. J'ai 26 ans, certes, mais souvenez-vous de cet épisode, et ce genre d'anachronisme générationnel ne vous fera même plus lever le sourcil.

2 - Le titre de ce livre, ça fait quand même un peu Martine à la plage, Martine à l'école, Martine et le taxidermiste, Martine au bal des pompiers, que sais-je...
Cette couverture et ce titre, là, pour le coup, c'est inspirant :

Voire :


3- Exactement comme ce qu'on a vu ici avec cette fabuleuse image :

Dingue non ? Quel est le rapport avec Maigret ? A part la couverture de ce livre, aucun. A moins que Madame Maigret ne soit en fait un homme ? Dans ce cas cela expliquerait pourquoi on ne la voit qu'une seule fois dans TOUS les épisodes de Maigret diffusés sur Antenne 2, France 3 Régions et France 2... Le mystère reste entier.
D'ailleurs ça me fait penser aussi qu'hier soir, chez l'Homme et moi, au programme il y avait Cabaret, sur Arte.
C'était diffusé dans le cadre d'un théma (les fameux théma d'Arte qui font toujours un peu flipper, parfois à tort). Le théma c'était : "Le berlin gay des années 30".
C'est pointu, quand même... Y'a dû y avoir 2 films sur le sujet, au bout du compte.
Bon en fait on fait bien de flipper un peu des théma d'Arte.
Ce sera le mot de la fin.
Bonne méditation.

samedi 12 février 2011

Si David Vincent les a vus, moi j'en suis pas loin

Vendredi 11 février 2011 : la journée de l'étrange.

Premièrement : à 18h30, le pharmacien du quartier où je travaille m'annonce que la Sécurité Sociale a décidé toute seule comme une grande et sans me prévenir que ma Carte Vitale n'était plus en service. Sait-elle que j'ai renvoyé mon dossier pour avoir la nouvelle carte avec photo en septembre dernier, et que je n'ai toujours pas de nouvelles ? J'en doute.

Deuxièmement : à 18h55 environ, je descend du métro à la Gare du Nord, je me dirige vers la correspondance du RER, quand soudainement l'escalator qui descendait se met à remonter, avec des dizaines d'usagers dans les marches. Ou comment avoir l'impression de visionner un film qu'on rembobine, grandeur nature.

Troisièmement : lorsque je sors à Denfert-Rochereau vers 19h25, je photographie ceci :

La veille à 8h35, dans les couloirs du métro Alésia, j'avais photographier cela :

Quatrièmement : je rentre et explique tous ces faits étranges à l'Homme, et m'aperçois que 11 février 2011 ça fait 11.02.2011, que 1+1 (les chiffres du jour) = 2 (le mois), et ça marche aussi pour l'année. Quand même hein, ça fait beaucoup !

(et alors là, attention) Conclusion : "Je crois qu'on devrait appeler Jacques Pradel". Je me dis que décidément, j'ai bien fait de demander son avis à Mathieu.

Reste à savoir si ça fout vraiment les pétoches d'aller manger chez Léon de Bruxelles.

PS : ces photos sont les 2 premières prises avec mon nouveau compact et que vous voyez ici, bienvenue le Pentax Optio M900 ! Et une petite pensée pour les 7 ans 1/2 de bons et loyaux services de mon Canon PowerShot A70 avec 3,2 mégapixels (vous pouvez vérifier, vous en avez plus dans votre téléphone), offert par ma famille pour mes 19 ans et qui m'a suivie pendant toutes mes études et au-delà, qui est allé en Suède, en Espagne et jusqu'en Indonésie bravement et sans mollir. Vraiment, bravo.

jeudi 10 février 2011

Un monopède averti en vaut deux (voire plus)

A suivre dans cet article : un conseil-survie de sioux pour les cinéphiles.
Mercredi, je suis allée voir Black Swan comme une ouf le jour de sa sortie à la séance de 20h, dans une salle comble, avec Jonathan et sur une idée (j'insiste : une idée) de Jonathan.
Pour résumer : Amélie l'archi-yogi + Jonathan le trader-golfeur = amis de 10 ans (c'est important pour la suite).
Le film "dure 1h48" (je ne vais au cinéma qu'avec des gens qui maîtrisent parfaitement la durée des films), période pendant laquelle vous voyez sur très grand écran, dans le désordre et pêle-mêle :
- une scène de pelotage chorégraphe + danseuse pendant la répétition
- une scène de masturbation dans un lit
- une autre dans un bain
- les 2 héroïnes qui couchent ensemble
- un autre pelotage danseuse + danseur
- un acouplement Méphistophélès (ou chorégraphe, j'avoue que là on ne voit pas hyper hyper bien mais je crois même que l'un se transforme en l'autre, ou l'inverse, allez savoir) + danseuse.
Nous on ne s'attendait pas à voir une plus ou moins scène de *** tous les quarts d'heure, en fait on ne s'attendait pas à grand-chose.
Enfin la morale de l'histoire et surtout le conseil du moment :
Choisissez bien la personne avec qui vous irez voir Black Swan !
Par exemple, je vous déconseille un peu vos grands-parents voire vos parents, la nénette avec qui vous voulez conclure, votre collègue sur qui vous avez des vues, éventuellement votre concierge qui pourrait vous en vouloir et avoir des représailles, votre grande-tante, votre petite nièce ou les enfants de votre voisine.
Par contre allez-y avec votre époux, votre épouse, votre chéri(e), votre meilleur(e) ami(e), votre pote de 10 ans, Jonathan, moi.
Je sais, ça limite le choix, mais vous me remercierez plus tard.
Enfin allez-y parce que c'était achement bien, et on a même trouvé notre réplique culte DE TOUT LE FILM qui n'a fait rire que nous 2 dans la salle, et ça c'est la classe.