Ils l'ont dit et ils ont eu raison

"C'est le sort des plus beaux rêves de se transformer tout d'un coup en cauchemars."
Italo Calvino, l'homme onirique.

Déclaration d'amour ou déclaration de guerre ?

Prenez votre courage à deux mains : gressieramelie@gmail.com

Un p'tit four pour démarrer : le propos qui tombe à pic

Ahlala :

« Mais... Il est pas mort Pierre Palmade ?
- Ben... Non !
- Mais t'es sûre ?
- Ben oui enfin ! »

Merci Mathieu.


dimanche 29 juillet 2012

Budapest 3 - Le dix-neuvième hasardeux rapprochement : En route ! Enfin, en fleuve !

1- A Budapest comme dans de nombreuses villes, on fait des travaux. Et ici les ouvriers portent consciencieusement casques et chaussures de sécurité. Nous sommes côté Pest, au bord du Danube. Le Danube, dont tout le monde sait qu'il est beau et bleu depuis Johann Strauss, prend sa source dans la Forêt Noire avec la rencontre de deux autres cours d'eau, et mesure... Eh mais oh ! C'est quoi ce truc jaune dans le Danube ?


2- Mais oui les monopèdes, on dirait... mais... c'est... c'est... un BUS !


3- C'est officiel : on a retrouvé le Bus Magique ! Il est garé à Budapest.


vendredi 27 juillet 2012

Budapest 2 : Light my fire

Pour commencer, une bien belle image absolument contractuelle (et c'est vrai) pour vous donner le contexte et comprendre que dès le départ, on savait que ces vacances allaient un peu être n'importe quoi :


C'est l'apanage des gens qui voyagent à pas cher pour garder des sous pour manger des glaces : pas de bagages en soute.
Autant vous dire qu'on était bien contents qu'il fasse super beau, parce qu'on avait que des t-shirts, des caleçons/culottes, 2 paires de chaussettes (en ce qui me concerne), 1 jean, 1 short/jupe, 1 pull, 1 K-Way, 1 maillot de bain.

Maintenant que vous savez tout ça, un petit rappel de géolocalisation s'impose (j'ai ouï dire qu'on ne disait pas "géographie" pour situer des lieux, ce qui paraît somme toute assez logique).
Budapest, capitale de la Hongrie, dans la communauté européenne mais pas dans la zone euro. Une bonne destination si vous collectionnez les pièces étrangères, pas comme nous, donc.
Un cornet de glace 2 boules = 580 forints soit environ 2 euros.
Pas de décalage horaire, du moins à cette époque de l'année (ce qui me fascine toujours car on a une heure de décalage avec l'Angleterre, enfin passons. D'ailleurs à ce propos je vous ai dit que notre lecteur DVD, en retard d'une heure depuis son installation il y a des mois, est pile poil à l'heure des JO ? C'est pas trop pratique ça pour le direct ? Passons).

La Hongrie c'est ici :


La capitale, Budapest, est traversée par le Danube. A l'ouest : Buda, à l'est : Pest (facile), d'où Budapest. C'est un peu comme si Paris s'appelait Rivedroiterivegauche.
Il y a 2 grandes îles sur le fleuve : l'île Marguerite et l'île d'Obuda, où se déroule tous les ans en août le Sziget Festival, ça parlera aux amateurs.


Maintenant que vous êtes un peu au fait de tout ça, c'est parti pour une spéciale Buda-vs-Pest, qui durera jusqu'à ce que j'ai décidé que ça s'arrête (sic).

On part à Buda, et on fête l'ouverture des JO en souhaitant bonne chance à la délégation française et en ayant hâte de voir Usain Bolt :



Pour voir cette statue, prenez votre courage à deux mains et grimpez tout en haut de la colline de Buda, direction la statue de la liberté qui domine toute la ville.

La ville depuis la colline :


La colline depuis la ville :

Et la statue de la liberté en haut, qui n'a rien à voir avec celle de Paris et donc avec celle de New-York. Et quand je dis en haut, c'est genre "en haut", croyez-moi on a eu chaud parce qu'évidemment on a grimpé un après-midi par 35 degrés (celsius) et on aurait mangé n'importe quelle glace en arrivant, peut-être même un cornet rhum-raisin.

Prochain tour, direction Pest. Restez dans le coin les monopèdes !

jeudi 26 juillet 2012

Budapest 1 : cliffhanger de dingo

De retour de Budapest depuis même pas 24 heures, partie sans prévenir certes, mais revenue en prévenant, et c'est déjà pas si mal.
Pendant une semaine on a fait les fous-fous dans les bains, on a zoné sur l'île Marguerite, on a communiqué avec les animaux du zoo, bref j'ai essayé de garder mon oeil bien ouvert un peu comme mon ami le chameau, et je vous promets une série spéciale Buda-vs-Pest dans les jours à venir, histoire de prolonger les vacances.


A demain les monopèdes !

vendredi 6 juillet 2012

Part XI : 11 chiens de fiction qui dépotent

Aujourd'hui dans la rue j'ai entendu le nom de chien le plus cool depuis Idéfix : Belzébuth (véridique).
Du coup je me suis demandé qui étaient les chiens qui avaient vraiment la classe.


Petite sélection par ordre chronologique approximatif d'apparition dans ma vie, un ordre absolument objectif qui vous ravit déjà et qui m'a donné du fil à retordre, croyez-moi.
Je vous passe les Idéfix, Milou et autres Rantanplan, qui n'en peuvent plus d'être cités.

1- Scooby-Doo
2- Petit Papa Noël (le chien des Simpson)
3- Apollon & Zeus (les chiens de Higgins/Robin Masters dans Magnum (merci ma sœur pour la correction)
4- Mirza (la chanson de Nino Ferrer)
5- Milo (le chien de Stanley Ipkiss dans The Mask, de Chuck Russell)
6- Odie (de la BD Garfield)
7- Cerbère (le gardien des Enfers dans la mythologie grecque)
8- Argos (le chien d'Ulysse, toujours chez les Grecs)
9- Didier (le film d'Alain Chabat)
10- Nathanaël (le premier chien parlant dans Demain les Chiens, de Clifford D. Simak)
11- Sam (la chienne de Robert Neville dans Je suis une légende de Francis Lawrence)

Oui alors vous me direz, "et Rintintin ? et Lassie ? et Droopy ?", et c'est là que je vous répondrai que vous aussi vous pouvez faire votre top 11 des chiens qui claquent, je ne serais pas jalouse (je serais même curieuse).

PS : vous remarquerez donc que j'ai eu une période de découverte de la mythologie grecque très intense...