Les classiques, pour les débutants
– A table, avec ironie ou non
« C’est fin, c’est très fin, ça se mange sans faim. » Thérèse (Anémone) dans Le père Noël est une ordure, de Jean-Marie Poiré.
– Après n’avoir pas compris
« I’ dit qu’i voit pas l’rapport. » Serge Karamazov (Alain Chabat) dans La cité de la peur d’Alain Berbérian.
– En cas d’approbation
« Ockie dockie. » Hannibal Lecter (Anthony Hopkins) dans Le silence des agneaux de Jonathan Demme.
– Après une remarque déplacée, une insulte, devant le miroir, ou juste le temps de chercher une vraie réponse
« C’est à moi qu’tu parles ? » Vinz (Vincent Cassel) dans La haine de Mathieu Kassovitz ; avec un anglophone, « You talkin’ to me ? » Travis Bickle (Robert De Niro) dans Taxi Driver de Martin Scorsese.
– A table, avec ironie ou non
« C’est fin, c’est très fin, ça se mange sans faim. » Thérèse (Anémone) dans Le père Noël est une ordure, de Jean-Marie Poiré.
– Après n’avoir pas compris
« I’ dit qu’i voit pas l’rapport. » Serge Karamazov (Alain Chabat) dans La cité de la peur d’Alain Berbérian.
– En cas d’approbation
« Ockie dockie. » Hannibal Lecter (Anthony Hopkins) dans Le silence des agneaux de Jonathan Demme.
– Après une remarque déplacée, une insulte, devant le miroir, ou juste le temps de chercher une vraie réponse
« C’est à moi qu’tu parles ? » Vinz (Vincent Cassel) dans La haine de Mathieu Kassovitz ; avec un anglophone, « You talkin’ to me ? » Travis Bickle (Robert De Niro) dans Taxi Driver de Martin Scorsese.
Les contextuelles, pour ceux qui maîtrisent déjà un peu le sujet et qui sont au taquet
– En voiture et en tendant un gobelet
« Si tu vomis, vomis là-dedans. » Garth Algar (Dana Carvey) dans Wayne’s world de Penelope Spheeris.
– Au téléphone, quand vous êtes attendu(e)
« C’est à une demi-heure d’ici. J’y suis dans 10 minutes. » Winston Wolfe (Harvey Keitel) dans Pulp Fiction de Quentin Tarantino.
– A peu près n’importe quand mais pas à n’importe qui
« Cap ou pas cap ? » Julien (Guillaume Canet) et Sophie (Marion Cotillard) dans Jeux d’enfants de Yann Samuell.
– En planque ou aux fourneaux
« Faut toujours bien laisser mijoter, on sait jamais ce qui peut se passer. » Jacques Mesrine (Vincent Cassel) dans L’ennemi public n°1 de Jean-François Richet.
– A un petit génie qui a de la suite dans les idées
« Sur un malentendu ça peut marcher. » Jean-Claude Dusse (Michel Blanc) dans Les bronzés font du ski de Patrice Leconte.
Les balèzes, pour ceux qui sont toujours prêts à dégainer
– En cas de mauvaise humeur, ou d’humeur taquine voire farceuse
« J’vais te torturer rien qu’un peu. Pour la rigolade. » Mr Blonde (Michael Madsen) dans Reservoir Dogs de Quentin Tarantino.
– En cas de forte capacité d’adaptation
« Ah bon ? J’peux pas faire ça ? Ben à quoi ça m’sert d’être Edith Piaf alors ? » Edith Piaf (sans déc ?) (Marion Cotillard) dans La môme d’Olivier Dahan.
Un petit exemple parce que je sens que là, vous êtes perplexe(s)… Avec Mathieu, sur le trottoir roulant à la station Montparnasse :
« Eh, roule à droite loulou ! (oui ce surnom est ridicule mais je ne le réserve pas qu’à mon homme, je suis généreuse et j’aime mon semblable)
- Tu vas pas me doubler quand même ?
- Ah bon ? J’peux pas faire ça ? Ben à quoi ça m’sert d’avoir des grandes jambes alors ? »
Adaptations possibles : à quoi ça m’sert de mesurer 2m/d’avoir la tchatche/de faire de la boxe/d’être avocat/d’avoir un compte en Suisse/d’être balaise en histoire/de tenir un blog/d’avoir des collègues anciens mécanos/de bosser à l’hosto/de faire du golf/de t’avoir comme ami(e)/etc.
– A peu près n’importe quand mais pas à n’importe qui
« Cap ou pas cap ? » Julien (Guillaume Canet) et Sophie (Marion Cotillard) dans Jeux d’enfants de Yann Samuell.
– En planque ou aux fourneaux
« Faut toujours bien laisser mijoter, on sait jamais ce qui peut se passer. » Jacques Mesrine (Vincent Cassel) dans L’ennemi public n°1 de Jean-François Richet.
– A un petit génie qui a de la suite dans les idées
« Sur un malentendu ça peut marcher. » Jean-Claude Dusse (Michel Blanc) dans Les bronzés font du ski de Patrice Leconte.
Les balèzes, pour ceux qui sont toujours prêts à dégainer
– En cas de mauvaise humeur, ou d’humeur taquine voire farceuse
« J’vais te torturer rien qu’un peu. Pour la rigolade. » Mr Blonde (Michael Madsen) dans Reservoir Dogs de Quentin Tarantino.
– En cas de forte capacité d’adaptation
« Ah bon ? J’peux pas faire ça ? Ben à quoi ça m’sert d’être Edith Piaf alors ? » Edith Piaf (sans déc ?) (Marion Cotillard) dans La môme d’Olivier Dahan.
Un petit exemple parce que je sens que là, vous êtes perplexe(s)… Avec Mathieu, sur le trottoir roulant à la station Montparnasse :
« Eh, roule à droite loulou ! (oui ce surnom est ridicule mais je ne le réserve pas qu’à mon homme, je suis généreuse et j’aime mon semblable)
- Tu vas pas me doubler quand même ?
- Ah bon ? J’peux pas faire ça ? Ben à quoi ça m’sert d’avoir des grandes jambes alors ? »
Adaptations possibles : à quoi ça m’sert de mesurer 2m/d’avoir la tchatche/de faire de la boxe/d’être avocat/d’avoir un compte en Suisse/d’être balaise en histoire/de tenir un blog/d’avoir des collègues anciens mécanos/de bosser à l’hosto/de faire du golf/de t’avoir comme ami(e)/etc.
Soyez à la hauteur de vos ambitions !
Et merci à Mathieu, qui a de meilleurs souvenirs de Wayne’s World que moi…
Tu as oublié :
RépondreSupprimer- Si tu croises un mec avec un fusil à la main (ou un fromage corse) :
Personne par la guerre ne devient grand.(Yoda dans Star Wars : L’empire contre-attaque)
Je t'en offre une :
RépondreSupprimerlorsque ton interlocuteur commence a perdre patience ou lorsque ton copain (appelons le loulou) n'en peux plus d'attendre que les macarons soient cuits:
"Hey reste cool, tu vas attraper un ulcère avec tes mauvaises vibrations!"Dany/Jean pierre Daroussin dans Mes meilleurs copains de Jean marie poiré.