Pour revenir au bercail, j'ai dû passer par la Malaisie, et plus précisément par Kuala Lumpur, enfin je vous raconterai tout ça dans quelques jours car comme on dit dans les films, "c'est une longue histoire" (et là vous répondez "ça tombe bien j'ai tout mon temps").
Quand je suis arrivée dans ma chambre d'hôtel, je n'ai pas tout de suite remarqué cet autocollant au-dessus de l'un des deux lits.
Quand je suis arrivée dans ma chambre d'hôtel, je n'ai pas tout de suite remarqué cet autocollant au-dessus de l'un des deux lits.
Mais j'ai tout mon temps...
RépondreSupprimerEt sinon, il y a écrit quoi sur cet autocollant assez improbable ?
RépondreSupprimerComme quoi, pas la même région, pas la même culture, pas les mêmes détails...
Bon sang mais c'est bien sûr, j'aurais du y penser, décidément, j'ai vraiment de la marmelade à la place du cerveau...
RépondreSupprimerPar contre, pour ce qui est d'Inglourious Basterds, comme je l'ai déjà ecrit je sais plus trop où, je suis assez mitigé : certes, c'est un bon film et c'est bien tourné, on ne voit d'ailleurs pas du tout le temps passer, ce qui est un exploit pour un film de 2h30, et je plussoie même pour ce qui est de la performance de Brad Pitt, qui parvient à nous faire oublier qui il est pour qu'on ne voit plus qu'un matamore bas de plafond, sans compter l'officier allemand d'une crédibilité et d'une justesse ahurissante...
Lui il mérite vraiment un oscar, voire plusieurs, même !
Mais d'un autre côté, Inglourious Basterds ne se hisse pas au niveau de Pulp Fiction, d'une construction originale, complexe et foisonnant d'idées, ni de Jackie Brown, bien plus maîtrisé en dosant savamment réalisme et imagerie de la blaxploitation...
Bref, un bon film, un bon Tarantino, mais sans doute pas un grand film, et pas aussi abouti qu'il le pourrait sans doute en raison du manque de ligne directrice bien définie, de l'hésitation constante entre le pulp et film historique, à ce qu'il me semble.