Parfois les immeubles sont détruits.
Les façades disparaissent, les planchers aussi.
Restent alors les murs mitoyens. La marque des cloisons, le carrelage de la salle de bain, le papier peint du salon, celui de la chambre des enfants. L'empreinte des cadres accrochés aux murs, les armatures du béton armé, les saignées pour passer les fils électriques.
Parfois, on en apprend davantage par la destruction.
Mais alors il est trop tard.
Les façades disparaissent, les planchers aussi.
Restent alors les murs mitoyens. La marque des cloisons, le carrelage de la salle de bain, le papier peint du salon, celui de la chambre des enfants. L'empreinte des cadres accrochés aux murs, les armatures du béton armé, les saignées pour passer les fils électriques.
Parfois, on en apprend davantage par la destruction.
Mais alors il est trop tard.
J'adore ce type de photo... ça me fait toujours penser au travail de Gordon Matta-Clark. J'adore le travail de cet artiste, fais une petite recherche sur le net si tu ne le connais pas...
RépondreSupprimerPas de manif aujourd'hui ... pourtant avec ce temps, ce serait idéal pour profiter d'une ville sans voiture et se promener le nez en l'air...
PS: je vais au boulot en voiture... mais les transport en commun fonctionnent apparemment...
yé souis dé rétour ! yé souis de rétout ma chère Amélie ^^ Je suis cramé de partout (j'ai la marque de mon maillot -ça fait trop con- hihi) Parfois tu me fou la trouille ^^ (mé ouéské va chérché tout ça ?) peut être est ce l'âme d'une poète ou peut être une artiste. Bref ! j'ai beaucoup à lire ^^ (yen soui ravis) preuve que tu vas bien (enfin j'espère) ! Je suis tout tout content, j'ai pu enfin prendre mon temps de réfléchir loin de ce bouquant dans paris ! Mé ké yé vé fére ? Plus optimiste que jamais, j'ai envie de te voir !!! et partager notre vision de la vie ensemble (yé soui un moulin a parole). Il est temps de prendre les choses en main pour vivre enfin ma vie (que j'ai envie de partager).
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