Ils l'ont dit et ils ont eu raison

"C'est le sort des plus beaux rêves de se transformer tout d'un coup en cauchemars."
Italo Calvino, l'homme onirique.

Déclaration d'amour ou déclaration de guerre ?

Prenez votre courage à deux mains : gressieramelie@gmail.com

Un p'tit four pour démarrer : le propos qui tombe à pic

Ahlala :

« Mais... Il est pas mort Pierre Palmade ?
- Ben... Non !
- Mais t'es sûre ?
- Ben oui enfin ! »

Merci Mathieu.


mardi 5 avril 2011

Le printemps c'est dingo

Entre une connexion Internet approximative et un projet secreto-financio-immobilis in mobile mené avec l'Homme, je regrette de n'avoir que des journées de 24h mais elles ont beau être trop courtes, ça ne m'a pas empêchée, en l'espace de 3 semaines :

- de faire des courses mi-bobo mi-geek à la Fédération Nationale d'Achat Coopératif de la rue de Rennes (à la Fnac Montpar, NDLR) ce qui m'a permis de constater que les comics ne sont pas rangés dans le rayon "Sciences humaines" comme on pourrait le penser, mais bien au fin fond du Mordor comme le dictionnaire greco-hébreux que plus personne n'ose demander. Enfin ça m'a permis aussi de lire des histoires de morts-vivants le matin dans le métro, à côté de gens qui mangeaient leur croissant, laissez-moi vous dire que c'était marrant. - de croiser la Vache-qui-Rit au supermarché, tranquille dans ses sabots, sauf qu'elle ne faisait même pas ses courses, mais fêtait ses 90 ans (oui ma bonne dame). Ben y'a pas beaucoup de gens dans ma famille qui peuvent la traiter de jeunette ! - de faire des lectures intéressantes et Brigitte Bardot-friendly avec mon homme. (qui n'est pas Karlito mais qui l'imite tellement bien) - de constater avec bonheur et mal de gorge que ça y est le printemps est là, même au bazar du coin où je vais bientôt faire un stop en pensant à ma soeur :

C'est finalement plutôt rassurant de voir qu'il y a toujours des tags, des mascottes et des espadrilles dans la vie, vu qu'apparemment autour de nous tout fout le camp, il en faut peu pour être heureux.

3 commentaires:

  1. C'est gentil de penser à moi quand tu vois des espadrilles, mais il faut rappeler à nos amis monopèdes que c'est bien toi (et papa) qui porte(nt) ce genre de chausses.
    Sinon, est-ce un message caché que de placer le "bac-présentoir" à espadrilles juste au-dessus des poubelles ?
    Moi, je dis ça je dis rien, je constate.
    Bibis.

    RépondreSupprimer
  2. Non merci pour les espadrilles. Je vais m'en tenir aux ballerines.
    Sinon, j'en reviens toujours pas que t'aies croisé une star en faisant tes courses. Bon ok, on voit que son popotin mais bon on la reconnaît bien quand même.
    Je suis jalouse, même si Freddie Mercury squatte ponctuellement mon salon...
    Bises.

    RépondreSupprimer